Lors de mon inscription à mon triathlon, j’ai voulu faire le point sur mes difficultés lors de mon dernier triathlon. J’ai le souvenir d’avoir perdu énormément de temps sur les transitions, ne pas savoir m’hydrater en vélo et surtout avoir beaucoup souffert sur les deux premiers kilomètres de course à pied.
Le triathlon est un sport où l’arrêt du chronomètre n’est pas d’actualité. Ce n’est pas qu’une question d’organisation de l’équipement mais aussi des muscles.
Pour préparer au mieux mon corps aux enchainements des disciplines, j’ai opté pour une meilleure préparation avec des entrainements biquotidien quand l’occasion s’y prêtée.
En voyant la galère que j’avais pour me garer près de mon domicile lors du retour de piscine, j’ai proposé cette option à mon mari: faire l’aller-retour en courant pour optimiser le temps. Ainsi j’allais appréhender au mieux la question organisation. La vitesse n’était pas importante ici. Il fallait que j’anticipe le déroulement, visualiser et surtout ne pas me précipiter. Ce mode d’entrainement fut vraiment essentiel pour visualiser mes transitions, détecter les petits couacs ou tout simplement la perte de temps. J’avais acquis une automatisation de mes gestes avec une certaine facilité à tout enchainer.
Au début, je n’ai pas trop eu de souci avec mon équipement vu que la météo était pas top. Dès que les beaux jours sont apparus.. Avec les débardeurs, ce n’était pas la même chose. J’ai vite eu des brûlures près du cou suite à un frottement des bretelles de mon sac. Je suis alors partie à la quête d’un sac plus adapté: Le Duro de la marque Osprey.
Pour être honnête, je me suis basée sur une marque en qui j’avais confiance vu que j’ai un sac de randonnée (l’article est ici) qui nous a suivi durant nos dernières vacances sportives. Je ne suis pas allée bien loin dans ma recherche, mon sac devait:
- être compatible avec la pratique running
- Avoir des gros compartiments pour ranger : Pullboy, serviettes, lunettes, bonnet..
- Ne pas me faire des brûlures
- Avoir beaucoup de poches
- Être résistant à l’eau
Je ne me voilais pas la face, je savais très bien que mes jambes répondaient déjà beaucoup mieux face à l’effort. Cependant, je ne m’étais pas entrainée à enlever ma combinaison. Je pensais que j’allais perdre pas mal de minutes dans la première transition mais ce n’était pas bien grave. J’ai gardé en tête de ne rien oublier à prendre pour ne pas subir l’une des disciplines.
Pour la seconde transition, j’avais effectué qu’un seul entrainement pour me rendre compte des ressentis. Je me suis surprise à ne pas avoir une foulée horrible ou encore une baisse de performance. Je me suis sentie tellement mieux et soulagée de voir que toute cette préparation se déroulait impeccablement.
Depuis ma reprise sportive, et surtout au côté running, je me suis aperçue que mes appuis sont meilleurs. Je fais mon maximum pour ne plus m’affaisser en courant.
Mon équipement : Combinaison néoprène de Nabaiji, Tri fonction SKINS >> , Brassière de SKINS >>, Baskets Sky de Mizuno >> , Chaussettes de Skins >>, Veste de SKINS >>, Le vélo Cross de la marque Cube Bikes >>, Lunettes de soleil Adidas >>, le bracelet vivosport de Garmin >> , la montre 920XT Garmin >> et sa ceinture HRM-Tri >> .
Alors voilà, j’avais bien travaillé mes transitions mais avec les aléas d’avant départ… J’ai eu une montée de stress. Je n’ai tellement pas l’habitude de rouler auprès des cyclistes que j’étais perdue avec ceux qui roulaient en groupe. Je n’avais pas écouté les indications concernant le parcours vélo.. Donc voilà, je me suis plantée dans l’intersection. C’est comme ça. J’ai terminé, c’est le principal à mes yeux.
J’espère que cet article va pouvoir vous aider dans votre préparation. Si vous avez d’autres recommandations à partager, surtout n’hésitez pas!
A très vite